Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

Pourquoi avoir alerté tant d'autorités ?


Parce qu'il n'y a pas que la voie judiciaire pour résoudre ce genre de conflit privé.


Parce qu'alors je ne pouvais faire moins que d’annoncer, par correction, le caractère inéluctable de la publicité qui serait donnée à cette scandaleuse affaire et à la mauvaise administration de la justice.


Parce que, n’ayant rien à me reprocher, je devais m’exposer afin de pouvoir dire que je n'ai pas craint de le faire et que, à ce jour, aucune poursuite n’a été diligentée à mon encontre : c’est bien le cas.


Enfin parce que, tant que personne ne bouge, je me dois de poursuivre ces démarches. Continuer à subir un tel fardeau dans un silence qui ne s’impose plus serait se rendre complice d’un grave dysfonctionnement.


Les plus hautes autorités judiciaires et politiques ont régulièrement été alertées par des courriers RAR dans des termes mettant précisément en cause les jugements passés, qualifiés de « pitrerie judiciaire » selon les termes d’un directeur général de banque particulièrement averti du sujet.


Dans les rares réponses reçues de la part de collaborateurs, on se borne à m'écrire à peu près ceci :

« Je ne puis que vous rappeler que les décisions administratives et juridictionnelles se contestent par le seul exercice des voies de recours, etc. … »


Une seule menace de poursuite figure dans un courrier du 20 mars 2012, en ces termes : « Elles ne se contestent pas davantage par la mise en cause publique de ceux qui ont participé à leur élaboration, méthode au demeurant susceptible d’être pénalement qualifiée. »


Cela tend à montrer que le fait de mettre en cause une personne morale ne préoccupe personne, alors que le fait de mettre en cause des personnes physiques (mais lesquelles ?) est susceptible de motiver l’autorité judiciaire pour la recherche de la vérité.


Attendons.


PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.