Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

«Il n’y a pas de fumée sans feu» : n’aurais-je vraiment rien à me reprocher ?


a) Je n’ai même pas à me reprocher d’avoir cru, au moment de mon départ de Cap-D, que Crédit Agricole SA remplirait enfin sa promesse d’apporter à ce groupe les fonds propres nécessaires.


Comment aurais-je pu imaginer que, trois mois après mon départ de Cap-D, un violent conflit entre dirigeants de Crédit Agricole SA – conflit de pouvoir totalement étranger aux besoins de Cap-D - entraînerait le départ du dirigeant qui contrôlait cette société … et m’avait fait attribuer une indemnité pour bons et loyaux services ?


b) Etre poursuivi pour indélicatesse et mauvaise gestion, sur la base d’arguments fabriqués en vue de protéger un ancien employeur qui m’avait pourtant promu chez Cap-D, n’est tout simplement pas admissible.


c) Prétendre juger le passé en s’appuyant exclusivement sur la connaissance de la suite … est aussi chose cruelle pour le juge. L’expert s’est vautré dans cet exercice, reconstruisant le passé en fonction des objectifs qu’il a bien voulu accepter pour beaucoup plus de trente deniers.

Lors d’une audience correctionnelle, après avoir été aisément et gravement mis en défaut, il osa exciper lamentablement d’un prétendu « droit à l’erreur »

Outre le fait que le droit à l’erreur n’existe pas, cette remarque ne manque pas de sel de la part d’un « expert ».


En lançant ma plainte pénale, je n'ai guère fait que réitérer ma demande, acceptée lors de la procédure correctionnelle concernant Cap-D, qui permit à la vérité de sortir même s’il fallut encore camoufler cette dernière dans l’exposé des motifs du jugement correspondant.

Ceux qui savent doivent être convoqués.

  


            PARLONS VRAI ...    

J'ACCUSE LE CRÉDIT AGRICOLE d'avoir fait commerce de justice


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.