Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

Pourquoi ne vous a-t-on pas proposé d’emploi après ces démêlés ?


a) Me voir réintégrer le groupe Crédit Agricole en étant défrayé de mes frais de justice a été envisagé un moment par son directeur général. Pour d’évidentes raisons, professionnelles et juridiques, cette idée n’a pu être poursuivie.


b) Cacher un contentieux de cette nature est impossible, si tant est que l’on soit dissimulateur ce qui n’est pas mon cas. Dans un tel contexte, il était donc très difficile de me proposer un emploi ou une simple recommandation. Les chasseurs de têtes le savent bien.


c) Outre cette « casserole », rédhibitoire pour un employeur, il y avait mon âge : ces procédures ont commencé alors que j’avais déjà 47 ans. Puis, après 2002, la dégradation de ma cotation Banque de France est venue compliquer le problème.


Les seules personnes à pouvoir, exceptionnellement, être « re-lancées » dans un tel cas de figure appartiennent le plus souvent à des réseaux rarement enclins, sinon au prix fort, à réparer ce qu’ils ont cassé.


J’ai pu trouver des missions, principalement à l’étranger (pays de l’Est), mais de trop courte durée et sans avenir.

Néanmoins, je ne dois pas oublier de rendre hommage aux quelques amis qui se sont engagés (cela ne leur fut pas toujours facile) pour me permettre de travailler.


d) Se défendre dans une situation pareille, alors que l’on a fait le choix de la vérité et que l’on est presque seul, est dévoreur de temps : les nuits y passent. Cela ne fut jamais pour autant une raison pour m’empêcher de travailler.

  


PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.