Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

Pourquoi votre silence pendant si longtemps ?


Parce que j'ai fait l'objet d'un chantage de la part de Crédit Agricole SA (confirmé par des témoignages), sur le mode suivant : ne nous mettez pas en cause et nous vous dédommagerons plus tard. Ceci a duré de 1997 à 2003.


De même, entre novembre 2002 et novembre 2006, je fus sous le chantage latent de la liquidatrice.

La clôture de la procédure de ma liquidation fut abusivement retardée ainsi qu'en décida le Tribunal de Commerce de Paris car mon argumentaire était imparable. Sans aucun doute, la liquidatrice voulait faire traîner les choses afin que joue une prescription en sa faveur. Peut-être même - agissant de son propre chef ou sous influence - pour me nuire, voire me « punir » dans la mesure où elle a vraisemblablement été informée de ma situation.


Car, sans cette clôture, je ne pouvais à l'évidence me retourner contre les auteurs de la manipulation, principalement son commanditaire, Crédit Agricole SA. Sinon, la liquidatrice aurait prétendu qu’un sursis à la clôture s’imposait tant que cette nouvelle procédure n’aurait pas été terminée sans recours … à l’instant de ma mort ?

Sans déroger à la règle, la plus grande prudence s’imposait donc. Et, sans perdre de temps, après la publication le 4 janvier 2007 du jugement de clôture de ma liquidation, mon assignation contre Crédit Agricole SA fut lancée le 29 janvier 2007.


Parce que la transaction du mois d'avril 2003 contenait une clause pénale de confidentialité imposée à la dernière minute pour un montant faramineux. Je ne pouvais donc m'exprimer publiquement avant de connaître l’arrêt d’appel de mon assignation, publié en décembre 2010.

Crédit Agricole SA ayant été déboutée de sa demande de me voir payer cette pénalité, et l'arrêt étant public, la clause de confidentialité n'avait plus de valeur et je pouvais enfin m’exprimer publiquement, notamment sur Internet.

  


PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.