Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

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222 ans après la révolution française, le Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) a fait paraître un « Recueil des obligations déontologiques des magistrats ».

Etait-ce si nécessaire ?


Le 8 juin 2010, le journal Le Monde a fait paraître à cette occasion un article intitulé « Tensions internes et pressions politiques : la vie mouvementée du Conseil Supérieur de la Magistrature ». La presse n’a pas manqué de signaler que ce Recueil a été établi a minima car il ne s'agit que de recommandations.


La vérité se construit, parfois douloureusement. C'est pour cela qu'il y a des juges d'instruction.

Faire obstacle à la manifestation de la justice peut être grave : c'est un délit, dont je suis victime.

J’attends des responsables, ainsi que de tous les "sachants", qu'ils établissent ou reconnaissent les faits et fassent en sorte qu’il y ait réparation.


La critique d’une décision de justice est possible si elle :

• n’est pas outrancière,

• est limitée au cas particulier de la décision rendue,

• ne met pas en cause l’institution judiciaire,

• n’est pas injurieuse (expression outrancière sans faits),

• et si les faits critiqués sont documentés pour pouvoir répondre à une accusation de diffamation.


On peut et doit donc dénoncer les décisions de justice inadaptées ou iniques.


Ma capacité à dénoncer la manipulation judiciaire subie, publiquement et sans risque d'être sérieusement contredit, est certaine, et je veux rester confiant en la justice de mon pays.


Il ne s’agit pas d’obtenir une révision des procès passés. Le scandale, de nature financière, doit être réparé. Il s’est développé au fil de procédures conduites par des magistrats que l’on dira trompés.


Il est naturellement important de savoir que Crédit Agricole SA et son ancien directeur général adjoint - M. Thierry Coste, responsable de la corruption -, ainsi que M. Gérard Harmand (expert) et Me Marie-José Josse (mandataire judiciaire) ne m’ont pas poursuivi pour diffamation publique.


PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.